domenica 22 luglio 2012

LEFEVBRIANI ( ANTI ACCORDISTI) FAN CLUB : MESSAGGI SUBLIMINARI .A MONS. MÜLLER IL GUINNES DEI PRIMATI DEGLI ATTACCHI QUOTIDIANI… MA DAL VATICANO NULLA ( NON LEGGO, NON SENTO, NON PARLO )


Solo un piccolo "assaggio" del 22 luglio 2012, su 3 post diversi di MiL.
A che servono questi attacchi giornalieri contro il neo-prefetto della Congregazione della Dottrina della Fede ?

"Intervista di Mons. Muller al quotidiano tedesco Süddeutsche Zeitung, riportata ieri da Vatican Insider. Il "Custode" della Dottrina della Fede dichiara:

Se i lefebvriani vogliono superare questa separazione devono accettare il fatto che «il Concilio vaticano II è vincolante» ...

«Si può discutere della dichiarazione sul rapporto con i media, ma le affermazioni sugli ebrei, sulla libertà di religione, sui diritti umani hanno delle implicazioni dogmatiche. Quelle non si possono rifiutare senza pregiudicare la fede cattolica».

Ho letto bene?
LA LIBERTA' RELIGIOSA COSI' COME CONCEPITA DAL CONCILIO E POST CONCILIO HA IMPLICAZIONI DOGMATICHE?

E LA SUA NON ACCETTAZIONE PREGIUDICA LA FEDE CATTOLICA?

MA NON E' L'ASSOLUTO CONTRARIO DI QUANTO SANCITO DA PAPA GREGORIO XVI, PIO IX PIO XI E PIO XII?

COSA NE PENSANO MONS. BUX E TUTTI GLI ARRAMPICATORI DIFENSORI DI MULLER CHE SI DILETTANO DI TEOLOGIA?

Comunque oggi nelle chiese italiane, nella Preghiera dei Fedeli, i cattolici italiani del NO hanno pregato così:
<>.
MONS. MULLER, IL SINCRETISMO HA IMPLICAZIONI DOGMATICHE E LA SUA NON ACCETTAZIONE PREGIUDICA LA FEDE CATTOLICA?

POVERA SANTA SEDE!"

INTERESSANTE INVECE QUESTO ARTICOLO :

[SPO] Les conditions de la Fraternité Saint-Pie X
SOURCE - SPO - 21 juillet 2012
Le document n’aurait pas dû fuiter ; il est déjà sur Internet
En date du 18 juillet dernier, l’abbé Thouvenot, secrétaire général de la Fraternité Saint-Pie X adressait une lettre circulaire aux supérieurs de districts, séminaires et maisons autonomes. Il faisait le compte-rendu des derniers mois et notamment des négociations avec Rome. Il rappelait également le déroulement du chapitre général et soulignait que ce dernier avait « donné son placet au Supérieur général à une très large majorité. » Enfin, il indiquait les conditions que la Fraternité Saint-Pie X s’imposait dans ses rapports avec les autorités romaines:

Conditions sine qua non que la Fraternité s’impose et qu’elle réclame des autorités romaines avant d’envisager une reconnaissance canonique:

1. Liberté de garder, transmettre et enseigner la saine doctrine du Magistère constant de l’Eglise et de la Vérité immuable de la Tradition divine ; liberté de défendre, corriger, reprendre, même publiquement, les fauteurs d’erreurs ou nouveautés du modernisme, du libéralisme, du concile Vatican II et de leurs conséquences ;
2. User exclusivement de la liturgie de 1962. Garder la pratique sacramentelle que nous avons actuellement (y inclus : ordres, confirmation, mariage) ;
3. Garantie d’au moins un évêque.

Conditions souhaitables:

1. Tribunaux ecclésiastiques propres en première instance ;
2. Exemption des maisons de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X par rapport aux évêques diocésains ;
3. Commission Pontificale à Rome pour la Tradition en dépendance du Pape, avec majorité des membres et présidence pour la Tradition.

On note donc deux étages dans cette fusée. Le premier étage a été, au moins pour son premier point, l’objet des discussions depuis le 14 septembre. C’est sur ce point principalement que des négociations devraient avoir lieu. Le point numéro deux est une évidence, qui ne devrait pas poser de problèmes. Le troisième point est étonnant dans la mesure où la Fraternité Saint-Pie X possède déjà trois évêques (quatre avec Mgr Williamson, mais qui n’est plus membre du chapitre). C’est donc une condition a minima.

Les conditions souhaitables sont pas nature ouvertes à la négociation. Le point deux s’avère le plus important car il détermine l’avenir. 
Le point trois n’est pas débarrassé d’un vocabulaire facile qui assimile la Fraternité Saint-Pie X à la Tradition de l’Église et en fait même la garante. 
On l’interprétera comme une facilité de langage qui vise à inclure aussi les communautés religieuses qui se situent dans la mouvance de la Fraternité Saint-Pie X.

La longue histoire de l’Église montre que celle-ci trouve toujours les moyens de régler les problèmes et les solutions pratiques nécessaires. Il serait juste temps maintenant que les discussions qui n’ont pas apporté grande chose laissent place aux négociations.